Adresse : 540 route des Ferriers 26410 Boulc
Ce stage propose quatre jours (mardi 14h - samedi 16h) d'immersion dans les hauteurs du paysage Diois, dans un cadre où la frontière entre l'espace intérieur et le milieu naturel tend à s'effacer. Danser en relation au milieu naturel accroît le sentiment d'être relié.e à l'environnement qui nous entoure, favorisant l'émergence de la sensation transformatrice de non-séparation, essentielle aujourd'hui. Ces quatre jours offrent une occasion pour se ressourcer, laissant le mouvement nous surprendre et dévoiler quelque chose de nous-même. La danse est là, prête à mobiliser notre énergie et soutenir notre lien avec la vie.
Le programme du stage prévoit :
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DO-IN auto-massage selon la MTC (médecine traditionnelle chinoise). Étirements des méridiens, geste très salutaire au Printemps.
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Mise en mouvement avec une approche somatique et holistique
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Danses en studio à partir d’outils d’improvisation et du contact improvisation
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Excursions dansées en nature
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Rituels collectifs et personnels, écriture
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Soirée d'improvisation et/ou veillé autour du feu
Le stage aura lieu au Centre Aguila, situé près de Die (arrivée en train à Die puis taxi à 5€. Tarifs intéressants au départ de Paris) www.centre-aguila.com/
Tarifs : soutien 400€ / réduit 360€ / solidaire et avant le 7 Avril 330€ (pédagogie et hébergement)
Les repas, végétariens et préparés avec des produits locaux, seront organisés en fonction du nombre de participant.es, environs 100€.
Le Centre Aguila est équipé de sauna.
Inscriptions et informations : mkrizzi@yahoo.fr
« Pourquoi les espaces naturels sont-ils si vitaux en cette période troublée ? La réponse est simple : la nature nous « ressource », elle « infuse en nous son énergie » et « suspend momentanément nos préoccupations et nos conflits intérieurs ». Elle nous procure des émotions profondes, qui évacuent le stress et augmentent le bien-être. »
Cerveau et Nature, pourquoi nous avons besoin de la beauté du monde (Flammarion Editions), Michel Le Van Quyen, directeur de recherche à l’Inserm.
Didier BARBE